La résolution des litiges est la quintessence du travail de juriste. Depuis des siècles, un bon conseiller juridique ou avocat sait plaider de manière convaincante et parfaitement rédiger tout acte. C’est ainsi que nous défendons les intérêts de nos clients devant les tribunaux de droit commun, arbitraux, administratifs et, avec fierté, devant la Cour suprême.
Bien entendu, nous cherchons toujours à obtenir un accord amiable, et nous recommandons cette démarche à nos clients. Nous négocions avec leur partie adverse, exposons une argumentation, servons de médiateur. Notre expérience montre qu’atteindre un objectif sans demander une décision judiciaire est parfois impossible. Conscients de cela, nous préparons notre client et nous-même à tout procès éventuel. Nous recueillons des éléments de preuve, analysons minutieusement les faits, bâtissons une argumentation, sachant que l’avenir financier, ou même la vie, de nos mandants peut dépendre du résultat de procédures.
À la résolution des litiges de nos clients participent trois conseillers juridiques. Quatre collaborateurs expérimentés les assistent en recueillant des informations, en réunissant des éléments de preuve et en contactant les tribunaux. Nous savons que notre professionnalisme, notre responsabilité et notre transparence sont fondamentaux.
Pour cela, dans notre travail :
• nous utilisons nos connaissances et notre expérience pratiques et théoriques,
• nous travaillons en équipe,
• nous respectons les délais et faisons le nécessaire pour éradiquer toute erreur pouvant compromettre un règlement favorable du litige,
• nous informons nos clients de l’évolution de leur affaire,
• nous ne dissimulons jamais aux clients que même une affaire simple peut se transformer en défaite, indépendamment des démarches engagées.
À ce jour, nous avons représenté ou assisté nos clients dans des affaires concernant entre autres :
• accidents, erreurs médicales ou autres (nous avons obtenu des réparations pour plus d’un million de zlotys),
• assurances,
• droits de la personnalité (p.ex. des partis politiques et personnalités),
• mauvaise exécution de contrats,
• protection de créanciers (actions pauliennes, nullité des actes juridiques, caducité de contrats),
• responsabilité de membres du conseil d’administration ou de la gérance,
• sécurité sociale,
• marchés publics,
• subventions du budget d’État.